En résumé
- Alias : L'Avatar du désespoir, de la désillusion et de la folie
- Sexe : Agenre
- Apparition : - 180
- Race : Démon
- Classe : Façonneur
Eatt, Avatar du désespoir, de la désillusion et de la folie, est apparu en l'an -180 lors du règne du roi fou de Minos à l'époque ou le pays n'était pas encore séparé de Thélèbes et formait le continent uni de Liyen.
Eatt apparu suite à la folie grandissante du du roi de l'époque, atteins de sévères troubles mentaux, dont une intense paranoïa. L'avatar apparu alors et arriva à convaincre le roi que les Eyriens étaient en train de comploter pour renverser le royaume. Manipulant ses perceptions, il lui fit croire qu'ils étaient en train pactiser avec les démons et le fit sombrer dans la folie pour se nourrir de sa démence.
Suite à son premier exploit, Eatt disparu, mais nombreuses sont les fois où la folie s'empara des hommes sans crier gare, provoquant des catastrophes. Par superstition, nombre de ces exactions sont attribuées à Eatt et son influence. On lui attribue notamment le désastre du flux noir de l'an 189 sur Andésia.
Cet Avatar est très particulier. Il n'a aucune réelle puissance magique, aucun potentiel offensif, et il n’apparaît a ses cibles que par des hallucinations, de sorte que personne d'autre n'arrive a le voir, entraînant la folie de ceux qu'il choisi comme sa prochaine victime.
Selon les descriptions qu'on fait ses rares victimes ayant survécu et qui ont tenté de le décrire, il ressemblerait à un grand être rachitique, avec de grandes cornes, sans visage et armée de longues griffes, tel un corps décharné sans aucune bouche, bien que sa voix sonne tel un murmure d'outre tombe.
Eatt est très intelligent, et ne vit que pour rendre fou les mortels et se nourrir de leur désespoir. Personne ne l'a jamais affronté, de par son existence presque fantomatique et il n'a du coup jamais perdu de sa puissance. A chaque nouvelle apparition, sa cible deviens plus forte et plus folle que la précédente, la rendant à chaque fois plus dangereuse.
Eatt n'a pas de culte sur Memtis. Il tire sa propre dévotion du désespoir des victimes qu'il dévore.